Sacrement du Pardon
Jésus dit : "Ainsi je vous le dis : Il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se convertit." (Luc 15, 10)
Horaires de Confession
Confessions chaque vendredi, pendant l'adoration :
Le
1er vendredi du mois : 18h30 à 19h30 à l’église de Colpo
Les
autres vendredis du mois : 18h30 à 19h30 à l’église de Locminé
Les samedis :
9h30 messe, adoration et confessions de 10h00 à 11h00 :
Samedi 16 novembre : église de Moustoir ac,
Samedi 7 décembre : église de Plumelin,
Samedi 21 décembre : église de la Chapelle Neuve
Samedi 4 janvier 2025 : église de Moustoir ac,
Samedi 18 janvier : église de la Chapelle Neuve
Samedi 1er février : église de Moustoir ac,
Samedi 15 février : église de Plumelin,
Samedi 1er mars : église de Moustoir ac,
Samedi 15 mars : église de la Chapelle Neuve
De plus, vous pouvez prendre contact avec le presbytère à tout moment pour demander un rendez-vous avec le prêtre.
Le sacrement du pardon, également connu sous les noms de sacrement de la réconciliation, confession ou pénitence, est un sacrement de guérison par lequel les fidèles reçoivent la miséricorde de Dieu pour les péchés commis après le baptême. Par ce sacrement, nous recevons le pardon de Dieu, rétablissons notre relation avec Lui et renforçons notre lien avec l'Église.
Ce sacrement offre une occasion précieuse de se réconcilier avec Dieu, de recevoir Sa grâce et de renouveler sa vie spirituelle. Il implique une démarche de repentance, de confession des péchés à un prêtre, d'absolution et de satisfaction (ou pénitence).
Pour les enfants, une période de préparation, souvent intégrée dans la catéchèse, est nécessaire pour bien comprendre la signification du sacrement et se préparer à le recevoir pour la première fois.
Pour recevoir le sacrement du pardon, vous pouvez prendre rendez-vous ou bien venir aux horaires proposés (cf. bouton ci-dessus).
De l'Evangile selon saint Luc, chapitre 15, versets 11 à 32 - Parabole du fils prodigue.
Jésus dit encore : « Un homme avait deux fils.
Le plus jeune dit à son père : “Père, donne-moi la part de fortune qui me revient.” Et le père leur partagea ses biens.
Peu de jours après, le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait, et partit pour un pays lointain où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre.
Il avait tout dépensé, quand une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin.
Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays, qui l’envoya dans ses champs garder les porcs.
Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec les gousses que mangeaient les porcs, mais personne ne lui donnait rien.
Alors il rentra en lui-même et se dit : “Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim !
Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.
Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Traite-moi comme l’un de tes ouvriers.”
Il se leva et s’en alla vers son père. Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son cou et le couvrit de baisers.
Le fils lui dit : “Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.”
Mais le père dit à ses serviteurs : “Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller, mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds,
allez chercher le veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons,
car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé.” Et ils commencèrent à festoyer.
Or le fils aîné était aux champs. Quand il revint et fut près de la maison, il entendit la musique et les danses.
Appelant un des serviteurs, il s’informa de ce qui se passait.
Celui-ci répondit : “Ton frère est arrivé, et ton père a tué le veau gras, parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.”
Alors le fils aîné se mit en colère, et il refusait d’entrer. Son père sortit le supplier.
Mais il répliqua à son père : “Il y a tant d’années que je suis à ton service sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour festoyer avec mes amis.
Mais, quand ton fils que voilà est revenu après avoir dévoré ton bien avec des prostituées, tu as fait tuer pour lui le veau gras !”
Le père répondit : “Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi.
Il fallait festoyer et se réjouir ; car ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé !” »